Université Mohamed BOUDIAF -M'Sila
Le 1 mars 2020, l’université Mohamed Boudiaf de M’sila a accueilli les travaux du colloque national qui s’intitule : ” le projet d’enrichissement et de modification de la constitution” sous le slogan “vers une nouvelle république algérienne “.
Le colloque est organisé par la fédération de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique et sous la supervision de monsieur le recteur de l’Université Mohamed Boudiaf de M’sila le Pr. Baddari Kamel et le secrétaire général de l’union des travailleurs algériens, en coordination avec la faculté de Droit et des sciences politiques.
Le colloque se poursuivra jusque le 2 mars.
Le colloque était présidé par le Dr. Messaoud Amarna, le secrétaire général de la fédération nationale de l’enseignement supérieur et le Pr. Ammar Boudiaf qui ont indiqué, dans leur allocution d’ouverture, l’importance de la thématique du colloque et notamment le moment opportun de son organisation. Les deux intervenants ont aussi souligné le rôle que pourrait jouer l’Université dans cette affaire en tant que porteuse d’élites. Ces derniers, doivent assumer la responsabilité et contribuer, voire accompagner le projet d’enrichissement et de modification de la constitution dans ses différents axes relatifs à l’argumentaire, les principes généraux, les droits et les libertés fondamentaux et le règlement du pouvoir.
Le colloque a marqué la présence des personnalités politiques et scientifiques importantes, notamment le wali de la wilaya de M’sila et son secrétaire général et le président de L’APW de M’sila, ainsi le Pr.Mohamed Lougab, chargé de mission auprès du président de la république et monsieur le directeur de l’école normale des sciences politiques le Dr. Mustapha Sayedj, le secrétaires général de l’union général des travailleurs algériens Salim Labatcha , le président de la délégation de l’autorité nationale des élections de la wilaya, ainsi la présence de toute la communauté universitaires.
De sa part le Pr. Baddari Kamel a souligné lors de son intervention l’importance du colloque, qui s’inscrit dans le cadre de l’ouverture de l’université sur les affaires nationales et aux questions sensibles de l’État et de la société, et qui vient aussi en synchronisation avec les mutations que connues le pays récemment. Ces transformations invoquent l’intervention de l’université comme lieu de changement qui doit contribuer à la construction de la nouvelle république.
